Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.

Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une analyse (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)

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Contrairement aux précédents tomes, celui-ci entame un arc étonnamment long. J’ai, après quelques pages seulement, retrouvé le format que j’ai tant détesté dans Dragon Ball Z, celui de la lenteur extrême. L’auteur se joue de nous en proposant une multitude d’intrigues qui se chevauchent tout en n’oubliant pas d’inclure l’un ou l’autre flashback.

Et pourtant, à la différence de l’oeuvre de Akira Toriyama, Eiichiro Oda rallonge volontairement son intrigue car elle est beaucoup plus complexe qu’une banale histoire de bagarre entre les gentils et les méchants. Il est donc nécessaire de passer par tous ces petits détails « inutiles » pour aboutir à des révélations bluffantes où toutes les pièces se mettent en place pour former un tout cohérent et majestueux.

Ce 18ème tome marque le début d’un véritable casse-tête pour le lecteur que je suis avec l’arrivée de nombreux nouveaux personnages dont il faudra très vite retenir leur histoire respective sous peine de devoir relire un même livre plusieurs fois.

 

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Auteur : Eiichiro Oda
Parution : 2003
Éditions : Glénat
Saga / Arc : Alabasta / Alabasta (2/8)

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