Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une analyse (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Après un magnifique cliffhanger dans le précédent tome, j’ai pris beaucoup de plaisir à découvrir les derniers instants de Luffy et de son équipage de l’île de Little Garden. J’apprécie beaucoup Eiichiro Oda de réussir à nous proposer une intrigue aussi captivante de bout en bout en veillant à proposer des « sous-intrigue » qui accélèrent ce qui s’annonce être une aventure de plus de 90 tomes encore.
Ce tome est assez particulier, car c’est la première fois que notre équipage rencontre une réelle difficulté qui ne se règle pas en quelques coups de poing : Nami est gravement malade. Il s’agit d’un nouvel aspect du manga qui commence où Eiichiro confronte ses personnages à des difficultés insurmontables.
Depuis le début de cette année, je n’espère qu’une chose en lisant One Piece, qu’un fou furieux décide de coloriser l’intégralité du manga… Je suis parfaitement conscient que manga = noir & blanc, mais l’auteur est tellement précis dans ses dessins qu’il serait sublime de les voir prendre vie autrement.