La vie au collège n’est pas de tout repos pour Nishikata : Takagi, sa voisine de classe, n’arrête pas de lui jouer des tours. Sur le chemin de l’école, en cours, ou à la récré, toutes les occasions sont bonnes pour déstabiliser le jeune garçon qui rêve de prendre sa revanche, mais échoue continuellement ! Il faut dire aussi qu’il est bien difficile de rester concentré face au sourire malicieux de cette petite diablesse.
Flashback ! Petit bond en arrière dans le temps pour assister à la rentrée des classes du collège, là où tout a commencé… C’est le jour de la première rencontre entre Takagi et Nishikata, le point de départ de toutes les taquineries qui vont suivre !
Un volume qui aurait peut-être dû être placé en tout début de série. En effet, la grande majorité des « gags » de ce tome ont lieu avant ceux des albums précédents. S’il fallait une preuve supplémentaire du choix peu judicieux de la maison d’éditions françaises, c’est que l’animé proposé sur Netflix ne s’est pas trompé et propose en tout premier les petites histoires de ce 7ème tome.
Cela ne gêne pas vraiment la lecture, mais c’est assez étrange de lire des histoires se passant chronologiquement avant les autres, mais avec l’expérience des volumes précédents. Cela crée une certaine intolérance qui se remarque et reste en tête tout au long de la lecture.
L’intrigue principale n’avance donc pas d’un chouya et j’ai vraiment l’impression d’avoir été berné, à l’image d’un épisode « flashback » de la série Friends aussi inutile que s’il l’on essayer d’apprendre à voler à une autruche. Vivement le prochain volume qui, je l’espère, nous dirigera tout doucement vers le final tant attendu (14 tomes au Japon – en cours 😢).
Ma note pour cette lecture : 14/20