Synopsis :
Rondouillard, naïf et sympathique, l’Agent 212 est la cible de tous les ennuis et de toutes les mésaventures auxquels un agent de police peut se trouver exposé.
Délinquants, conducteurs imprudents ou suicidaires obstinés se succèdent, pour la plus grande joie des lecteurs et de ses auteurs, Kox et Cauvin.
Le 22 juin 2020, j’ai fêté mes 33 ans. Par l’intermédiaire de mon opérateur (Orange), j’ai eu droit à trois mois d’abonnement offerts afin d’utiliser la plateforme Izneo. Cette dernière offre, parmi d’autres, la possibilité, moyennement un paiement mensuel, de lire une infinité de bandes dessinées.
Ce tableau permet, d’un simple coup d’oeil, de voir à quel point toutes les offres sont intéressantes. A peine 6,99€ pour 10 bandes dessinées (ou mangas, comics…) qui valent, individuellement, plus chères que l’abonnement lui-même. Pour les plus grands lecteurs, il suffira de passer à 9,99€ par mois afin de bénéficier de 4000 albums !!!
Etonnamment, je ne me souviens pas avoir déjà lu cet album de L’agent 212 qui est nettement meilleur que les 2-3 albums précédents qui s’enlisaient dans une certaine routine. Dans ce 9ème volet, on découvre un humour plus décalé, plus moderne et bien plus conforme à ce qui nous fait rire en 2021.
Les gags sont davantage travaillés et nettement plus complexes que ce à quoi nous avions l’habitude par le passé. Malgré l’incompétence de notre agent préféré, on se retrouve confronté à des situations bien plus « crédibles » où les incohérences sont inexistantes.
Qu’est-ce que j’aimerais que cette tenue soit adoptée par la police fédérale belge.
Les points positifs
- Gags simples et efficaces
- Un personnage principal attachant
- Les personnages secondaires alimentent positivement les gags
- Davantage de réalismes que dans les albums précédents. Les gags sont réfléchis.
- Album trop court et addictif
Le point négatif
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Ma note pour cette lecture : 20/20