Synopsis :
Krilin a été assassiné, et la boule à quatre étoiles dérobée par Piccolo ! Son Goku se lance à la poursuite de son sbire dont il ne fait qu’une bouchée, mais ce faisant, il provoque le courroux du Roi du Mal qui décide de l’éliminer une bonne fois pour toutes. Pour la deuxième fois de sa vie, Son Goku se heurte à plus fort que lui.
Qui désormais pourra empêcher Piccolo de recouvrer la jeunesse ?
Le grand moment tant attendu est finalement arrivé ! Le premier véritable méchant fait son entrée en scène sous le nom de Piccolo ! Pour les anciens, dont je fais partie, ce simple nom ne peut que vous replonger dans vos souvenirs d’enfance ainsi que la détresse associée à cette abominable apparition qui a entrainé de nombreuses victimes. Je mentirais en affirmant me rappeler avoir été réellement touché par le Roi Démon quand je n’avais que 9/10 ans, mais la preuve d’un tel constat est pourtant évidente ! Alors que j’ai n’ai pas regardé la série animée depuis plus de 15 années (et plus lue avant cette édition Perfect), j’étais pourtant en mesure de me remémorer le moindre détail sans la moindre hésitation… Il faut avouer que j’ai enfin compris, à cette époque et au même titre que les doubleurs VF, à quel point Dragon Ball allait devenir une série complexe, mais surtout un chef-d’oeuvre !!!
Les dessins ne s’améliorent pas vraiment… Pour la simple raison qu’ils étaient déjà exceptionnels dès les premières planches. Je suis toujours stupéfait qu’Akira Toriyama soit parvenu à proposer, il y a plusieurs décennies, des personnages qui ont la même qualité graphique que ceux dessinés au 3ème millénaire. L’édition Perfect, grâce à son grand format, permet de profiter davantage encore de ce petit prodigue des années 1980.
Cette édition est exceptionnelle tant pour son grand format que pour la qualité de l’objet-livre. L’ajout d’une fresque répartie sur les 34 tomes de la série permet de lui accorder la chance de figurer à une place de choix dans ma bibliothèque. Je ne peux que regretter le choix des éditions Glénat d’avoir augmenter la taille (pour un meilleur rendu), ce qui a impliqué l’absence de l’extrémité droite de la fresque.
Ma note pour cette lecture : 20/20