Synopsis :
Jojo est en convalescence, lorsque le mystérieux baron Zeppeli fait son apparition. Celui-ci parvient à soigner le bras de Jojo et finit même par lui enseigner l’art de « l’Onde ».
Tandis que Dio refait surface, plus assoiffé de sang que jamais et entouré cette fois de sbires ténébreux, Jojo met à profit l’Onde pour entamer la nouvelle phase de son combat !
Je nage en plein délire. A l’instar des deux premiers volumes, je ressors lessivé de cette lecture tant par sa densité et sa sombreur que par la complexité du scénario et un monde fantastique auquel je ne m’attendais absolument pas. Je comprends nettement mieux l’utilisation du terme « bizarre » pour définir les aventures du personnage principal.
Sans être capable de me l’expliquer, je me sens très mal à chaque fois que je lis un JoJo, un peu comme si l’auteur était parvenu à trouver le moyen d’angoisser le lecteur et le plonger dans l’angoisse de voir triompher le mal, ce qui est le cas dans une certaine proportion.
J’apprécie beaucoup le style de l’auteur qui représente parfaitement tout ce qui m’a fait aimer les mangas et les animes dans les années 1990. Ses dessins sont exagérés et c’est un pure plaisir pour mes yeux de « vieux de 33 ans ».
Ma note pour cette lecture : 19/20
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