Synopsis :
Fin du XIXe siécle… Lord Joestar, un noble anglais, avait adopté Dio, le fils d’un homme qui lui avait compter. Mais Dio, rempli d’une ambition dévorante, projetait d’évincer le véritable fils du lord, Jonathan (JoJo), pour s’emparer de la fortune de la famille.
Alors que la remise des diplômes universitaires approche, il passe à l’action en empoissonnant le lord. S’étant rendu compte que Dio était responsable de l’état de son père,
JoJo se rend à Ogre Street, à Londres, à la recherche d’une preuve et d’un antidote. Acculé, Dio décide de tuer JoJo à l’aide d’un masque de pierre antique… oui, à l’aide du fameux masque de pierre aztèque…!
Je ne m’attendais pas à un deuxième volume aussi intense, aussi violent et empreint d’un univers fantastique auquel je ne croyais pas vraiment. Et pourtant, ce mélange détonnant et étonnant marche à merveille et m’a procuré autant de belles surprises que de belles frayeurs tant en ce qui me concerne qu’au sujet du personnage principal.
L’intrigue est déjà grandiose après seulement deux volumes et l’on entrevoit clairement toutes les possibilités qui se sont offertes au mangaka. A l’aide d’un cliffhanger inattendu, il m’a plongé dans un état de dépendance extrême où il me sera très compliquer de résister à l’envie de lire le prochain tome immédiatement.
Et pourtant, je ressens un grand mal-être à la fermeture de ce deuxième volume. Et je suis bien incapable de vous expliquer pourquoi, même si je me sens oppressé par toutes les noirceurs tant visuelles qu’intellectuelles de cette série qui, inconsciemment, s’insinue dans les profondeurs de mon être. Est-ce une sensation que j’apprécie ? Est-ce je vais parvenir à me défaire de mes sentiments contradictoires ?
Je tiens tout de même à réitérer ma déception de la qualité de l’ouvrage en tant qu’objet. Les pages sont beaucoup trop denses, blanches et manquent de la texture caractéristique des mangas.
Ma note pour cette lecture : 19/20