Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une chronique « classique » (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Je ne « connais » pas The Promised Neverland même si je possède l’intégrale dans ma mangathèque. Je souhaitais attendre la publication des quatre derniers tomes (16/20 à l’heure d’écrire ces quelques lignes) avant de me lancer dans l’aventure. Mais je n’ai pas résisté à l’envie de lire ce « manga gag » pour « me mettre dans le bain ».
La seule chose que je retiens de cette lecture et qui fera aussi office de conseil : Ne lisez pas ce livre avant d’entamer la série The Promised Neverland. Je viens de passer une grande demi-heure à enchaîner les planches totalement dénuées d’humour et sans le moindre intérêt. Si l’objectif de ce One-Shot était de pousser à découvrir l’intrigue originelle, c’est bien tout le contraire qu’il se passe et je suis maintenant convaincu que je n’aurais aucune difficulté d’attendre la sortie des derniers tomes à paraitre.
Je vous propose de découvrir un aperçu de ce raté manga grâce à deux planches que je trouve particulièrement très mauvaise et assez représentatives du néant qui caractérise cette oeuvre. Pas étonnant qu’un tel livre soit publié au Japon, beaucoup plus en France où l’intérêt financier semble avoir réussi à convaincre les éditions Kazé qui ne pouvaient, objectivement, se passer d’une telle rentrée d’argent.