Synopsis :
Afin de localiser la boule de cristal « fantôme », Goku et ses amis se rendent chez la voyante Baba pour quérir son aide. Mais celle-ci leur réclame une somme d’argent astronomique ! Toutefois, elle accepte de mettre à leur disposition ses dons divinatoires si et seulement si ils parviennent à venir à bout de ses différents monstres…
Goku réussit à se rendre en finale, où pour la première fois, il a affaire à un adversaire à sa mesure : son grand père décédé ! Mais celui-ci ne peut hélas pas rester sur Terre très longtemps.
C’est toujours un véritable bonheur sincère de retrouver le jeune Goku dans ses aventures. Je suis totalement admiratif, et ce depuis plus de 25 ans, de ce jeune gamin insouciant et au coeur pur. Plus encore lorsque le mangaka nous propose un moment très émouvant grâce aux retrouvailles entre le petit Son et son grand-père, Son Gohan.
La deuxième partie de ce huitième volume marque le commencement des « choses sérieux » dans Dragon Ball. Alors que tous les adversaires de Son Goku semblaient (plus ou moins) forts, voilà que nous assistons à l’arrivée de Tenchinhan et de Chaozu et tout ce que cette apparition impliquera dans les prochains tomes. L’oeuvre de Toriyama va, bientôt, dépasser le simple état de « manga consacré aux arts martiaux » et ensuite dans une phase nettement plus spectaculaire. (Je me permets une petite parenthèse, mais Yamcha parvient vraiment à faire le Kaméhaméha ????? 😧). Les « pouvoirs » spéciaux vont ainsi faire leurs grands débuts et ouvrent la voie à des combats bien moins classiques.
Cette édition est exceptionnelle tant pour son grand format que pour la qualité de l’objet-livre. L’ajout d’une fresque répartie sur les 34 tomes de la série permet de lui accorder la chance de figurer à une place de choix dans ma bibliothèque. Je ne peux que regretter le choix des éditions Glénat d’avoir augmenter la taille (pour un meilleur rendu), ce qui a impliqué l’absence de l’extrémité droite de la fresque.
Ma note pour cette lecture : 20/20