Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une analyse (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Pour ceux qui connaissent cette série, n’avez-vous pas l’impression que Naruto parvient trop facilement à se défaire d’ennemis bien plus forts que lui ? Et qu’au final, c’est tout ce que l’on attend de ce jeune garçon impertinent qui agacent tant de personnages, mais qui tend à être admiré d’un bien plus grand nombre ?
Ce quatrième volume propose un rythme rapide qui dénote totalement avec la série animée qui n’hésite pas à user de flashbacks à outrance afin de proposer un nombre d’épisodes bien plus important que le nombre de chapitre. Dans la version papier, il n’existe aucun temps mort et l’on ne s’ennuie pas une seule seconde, même si le rythme est relativement lent (en comparaison avec les intrigues qui suivront).
Il s’agit de la première partie de Naruto où les « méchants » sont souvent défaits en quelques pages seulement. Un nouveau lecteur pourrait croire à une banale série qui voit un jeune garçon devenir le ninja le plus puissant du monde au grès de combats remportés facilement. Pour ceux et celles qui ne parviennent pas à accrocher, je vous invite à faire l’effort de poursuivre la lecture jusqu’au 20ème volume.