Synopsis :
Après avoir bu l’eau « magique » de la Tour Karin, Songoku est prêt à prendre sa revanche sur Tao Pai Pai ! L’assassin le plus puissant du monde se fait littéralement pulvérisé par notre héros, mais celui-ci ne compte pas s’arrêter en si bon chemin, et il se lance ensuite à l’assaut du quartier général de l’armée du Ruban Rouge, afin d’éradiquer le mal à source !
Sont arrivés les premiers morts « inutiles » de la série. Et même si cela me déplaît (cette violence inutile), je suis quand même émerveillé par le talent d’Akira Toriyama qui parvient à s’en servir afin de construire l’intrigue du moment. Chaque détail a son importance et c’est d’ailleurs à cause de cette méchanceté gratuite que San Goku, qui a pourtant récupéré la Dragon Ball de son grand-père, se décide à convoquer Shenron une fois de plus.
Je suis également ravi de retrouve Baba la voyante, un personnage que j’ai toujours détesté dans ma jeunesse. J’en ai même fait quelques cauchemars et n’ai jamais hésité une seule seconde à renommer mon institutrice de l’époque 😆. Une fois encore, je prends beaucoup de plaisir à redécouvrir, avec ma fille, une série qui m’a accompagné une grande partie de ma vie, avec cette agréable sensation que les événements s’enchaînent sans le moindre temps morts. Puis-je espérer un tel rythme au point que je ne veuille plus jamais visionner 300 épisodes pour un seul combat ?
Cette édition est exceptionnelle tant pour son grand format que pour la qualité de l’objet-livre. L’ajout d’une fresque répartie sur les 34 tomes de la série permet de lui accorder la chance de figurer à une place de choix dans ma bibliothèque. Je ne peux que regretter le choix des éditions Glénat d’avoir augmenter la taille (pour un meilleur rendu), ce qui a impliqué l’absence de l’extrémité droite de la fresque.
Ma note pour cette lecture : 20/20