Synopsis :
Songoku et Krilin sont arrivés au terme de leur entraînement intensif. En guise d’ultime épreuve, Kamé Sennin les inscrit au célèbre tournoi mondial des arts martiaux. Passant brillamment les phases éliminatoires, nos deux complices bouleversent tous les pronostics et s’avancent vers le haut du classement, sans se douter un seul instant que leur maître s’est inscrit incognito pour affronter ses élèves, sous l’identité du mystérieux Jackie Chun. Krilin est le premier à en faire les frais…
Toutes les générations, excepté les plus récentes, connaissent Dragon Ball. A moins d’avoir vécu dans une autre dimension, la plupart des êtres humains connaissent la grande majorité des détails de la jeunesse de Son Goku (et non pas Sangoku). Et pourtant, c’est un plaisir personnel et jouissif de pouvoir revivre les entraînements de base que le petit-fils de Son Gohan a dû suivre afin de devoir l’icône que nous connaissons aujourd’hui.
Je dois bien avouer être très surpris de la rapidité à laquelle évolue l’intrigue. Habitué à 45 épisodes de 25 minutes pour un simple combat, il ne faudra que quelques pages seulement pour boucler 8 mois d’entraînement intensifs qui m’avaient sembler durer bien plus longtemps dans mes lointains souvenirs. Il en sera de même pour les premiers combats du tournoi mondial proposés dans ce troisième volume qui s’enchaînent à vitesse grand V !
Le plus étonnant dans cette lecture, c’est la manière dont ma grande (elle insiste sur cet adjectif) fille de 6 ans est tombée dingue de cette série qui est, pourtant, en totale opposition avec les classiques de notre foyer : Peppa Pig, Miraculous ou même encore Pokémon. Moi qui pleurait secrètement ne pas avoir eu de fils avec qui partager mon amour pour les séries « masculines », je suis parvenu, sans rien faire, à rallier l’une des femmes de ma vie à ma cause 😉.
Cette édition est exceptionnelle tant pour son grand format que pour la qualité de l’objet-livre. L’ajout d’une fresque répartie sur les 34 tomes de la série permet de lui accorder la chance de figurer à une place de choix dans ma bibliothèque. Je ne peux que regretter le choix des éditions Glénat d’avoir augmenter la taille (pour un meilleur rendu), ce qui a impliqué l’absence de l’extrémité droite de la fresque.
Ma note pour cette lecture : 20/20