Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une analyse (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Ce huitième opus nous offre, enfin, le dénouement final entre Luffy et le Capitaine Creek. Une fois encore, Eiichiro Oda ne se contente pas d’un banal combat où notre héros en ressort malgré quelques blessures légères. L’affrontement est parfaitement mis en scène et nous offre des dessins très précis, presque vivants.
Parallèlement à cette « bastogne », l’auteur veille à véhiculer certains concepts, oubliés à l’époque numérique. Luffy ne se contente de se battre. Il met sa vie en jeu dans le seul objectif de faire respecter ses valeurs : l’honneur, la loyauté et la camaraderie le tout avec en point de mire son objectif de devenir le seigneur des pirates.
A peine le combat terminé (et remporté à la surprise générale ?) l’intrigue avance très rapidement, sans laisser le moindre point mort. Et même si on zappe Luffy (le temps de bien manger et de retrouver Nami), c’est un immense plaisir de retrouver les autres personnages qui, pendant une bonne centaine de pages, occupent le devant de la scène. On commence à mieux cerner Nami et sa traîtrise… A moins qu’elle nous cache une toute dernière facette !!!
J’oubliais !!! Sandy rejoint enfin l’équipage du chapeau de paille. Nos estomacs sont donc assurés d’être constamment bien remplis.