La vie au collège n’est pas de tout repos pour Nishikata : Takagi, sa voisine de classe, n’arrête pas de lui jouer des tours. Sur le chemin de l’école, en cours, ou à la récré, toutes les occasions sont bonnes pour déstabiliser le jeune garçon qui rêve de prendre sa revanche, mais échoue continuellement ! Il faut dire aussi qu’il est bien difficile de rester concentré face au sourire malicieux de cette petite diablesse.
Flashback ! Petit bond en arrière dans le temps pour assister à la rentrée des classes du collège, là où tout a commencé… C’est le jour de la première rencontre entre Takagi et Nishikata, le point de départ de toutes les taquineries qui vont suivre !
Que cette série est lassante… J’apprécie beaucoup les personnages et plus particulièrement la simplicité qui commence à s’installer entre eux. Et pourtant, j’apprécie de moins en moins ce format de gags successifs où les sentiments de l’une et de l’autre stagnent au même niveau qu’au tout début sans la moindre évolution. Ajoutez à cela une chronologie du temps qui ne respecte aucune logique et vous obtenez un mêle-tout d’histoires enfantines marrantes, mais sans plus.
Je tiens tout de même à noter la volonté du mangaka de faire un effort sur le nombre de taquineries dans ce huitième volume. Alors que j’étais blasé par celles-ci qui s’enchaînaient à une vitesse grand V, le rythme proposé est beaucoup plus lent et les personnages ont ainsi le temps de se dévoiler, mais surtout de dévoiler à demi-mots leurs sentiments.
Ma note pour cette lecture : 12/20