Synopsis :
Piccolo, le grand Roi du Mal, est parvenu à ses fins : réussir à invoquer Shenron et retrouver la jeunesse ! Désormais en pleine possession de ses moyens, rien ni personne sur Terre n’est plus en mesure de freiner ses ambitions de conquête du monde.
Son Goku lui-même a échappé de justesse à la mort. Son dernier espoir : boire l’eau sacrée située au sommet de la tour Karin, une eau capable de décupler les forces comme de provoquer la mort… 30 pages couleurs agrémentent ce volume relatant l’ultime combat de Son Goku “enfant” !
Je suis tout émoustillé à l’idée d’avoir lu ce 12ème volume de l’édition Perfect de Dragon Ball. Le 23ème Tenkaichi Budokai m’a réservé de très belles émotions. Malgré le fait de connaître l’intégralité de la série sur le bout des doigts, j’ai l’impression de la découvrir pour la toute première fois. Au même titre de Goku, j’ai été stupéfié d’apprendre la survie de Piccolo, d’apprendre que ce dernier et Dieu ne forment qu’une seule et même personne sans oublier que Mister Popo n’a jamais fait popo dans les livres…
Cet ouvrage marque également le passage à l’âge adulte de Son Goku. Au moment de découvrir le planche montrant nos jeunes héros avec quelques années de plus, je n’ai pas été en mesure d’arrêter cette chair de poule qui m’a prise de la tête au pied. Il s’agit d’un moment très émouvant où le sauveur de l’humanité retrouve ces amis disparut au combat trois années auparavant. Cette émotion est accentuée par la simplicité d’Akira Toriyama qui, à tout moment, se contente de l’essentiel grâce à des traits simples.
Cette édition est exceptionnelle tant pour son grand format que pour la qualité de l’objet-livre. L’ajout d’une fresque répartie sur les 34 tomes de la série permet de lui accorder la chance de figurer à une place de choix dans ma bibliothèque. Je ne peux que regretter le choix des éditions Glénat d’avoir augmenter la taille (pour un meilleur rendu), ce qui a impliqué l’absence de l’extrémité droite de la fresque.
Ma note pour cette lecture : 20/20