Synopsis :
Tôma se blesse en essayant de protéger Taichi.
Ce dernier se sent coupable ; à cause de lui, Tôma n’a plus aucune chance de participer au Kôshien.
Étant tous les deux à fleur de peau, ils finissent par se disputer. Futaba s’inquiète pour Taichi, elle l’invite quelque part pour lui changer un peu les idées.
Et même si les couvertures sont exactement les mêmes que l’édition japonaise, je trouve que les éditions Kurokawa méritent d’être récompensé par la qualité visuelle et tactile de cette série venue d’un autre monde. Je dois même vous avouer avoir été pris de tremblements à l’ouverture de ce troisième volume tant j’étais effrayé, d’une part, à l’idée d’abîmer cet ouvrage et, d’autre part, à la pensée d’être emporté par les émotions véhiculées par l’intrigue et les personnages.
Ce manga est une véritable bouffée d’air pour tout être humain étant soumis aux pressions de notre société. Il y a une totale déconnexion du monde qui m’entoure lorsque je me lance dans un tome de Blue Flag grâce à une intrigue très simple, authentique et qui met en avant l’amour de la manière la plus pure possible où je suis devenu le confident des personnages qui me dévoilent leurs secrets sans pour autant le faire auprès des personnes aimées.
Il est très rare de trouver un mangaka qui se soucie autant du décor dans lequel évolue ses personnages. Cela leur confère une humanité supplémentaires où je me suis constamment posé la question : « Est-ce une histoire authentique ? » J’aimerais beaucoup que cela soit le cas.
Je ne peux pas avoir plusieurs personnes qui comptent pour moi ?
Ma note pour cette lecture : 20/20