Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une chronique « classique » (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Je retrouve l’Eiichiro Oda que j’aime tant depuis près de 25 ans. Il a suffit de mettre un terme au règne de Doflamingo pour retrouver le rythme soutenu de la première partie de la série. J’ai l’impression que le mangaka a pris conscience qu’il était temps de mettre la deuxième s’il voulait atteindre son objectif de terminer la série au 100ème volume (il ne savait pas encore qu’il allait arriver jusque 120).
Je suis également très surpris par cette facilité à proposer de nouveaux territoires et de nouveaux personnages avec une telle facilité. Comment le mangaka parvient-il à conserver cette cohérence année après année avec autant d’informations disséminées, mais qui se recoupent parfaitement quand il sont mis bout à bout ? J’ai pris beaucoup de plaisir à être immergé dans ce nouvel arc qui nous réserve une bien triste nouvelle, la disparition (définitive ?) d’un membre de l’équipage de Chapeau de Paille…