Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une chronique « classique » (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Un 71ème tome riche en révélations. Vous rendez vous compte ? Le pouvoir Ace D. Portgas est à portée de main de Luffy. Quelle merveilleuse surprise de découvrir que le pouvoir du grand frère de Luffy s’est rematérialisé en tant que Fruit du Démon et plus spécifiquement le Pyro-fruit (Mera Mera no Mi). Ce dernier est mis en jeu par le terrifiant Doflamingo qui n’a rien trouvé de mieux que de nous proposer un combat digne des plus grands combats de gladiateurs dans une réplique fidèle du colisée de Rome.
Comme notifié dans le précédent tome, j’ai quelques difficultés à m’immerger complètement dans le cours des événements. J’ai plutôt l’impression d’être plongé au coeur d’un cerveau submergé par les idées, mais qui est incapable de les agencer afin de former un tout cohérent. Retour d’anciens personnages défaits, apparitions des nains de Blanche-Neige, un Luffy déguisé en vieillard, un Doflamingo totalement absent… Peut-être est-il trop tôt de donner un verdict définitif quand on sait qu’il ne s’agit que du deuxième tome de l’arc le plus long à ce jour de la série.