Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une chronique « classique » (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
J’ai passé un bon moment avec ce volume qui, une fois encore, ne centre pas son intrigue sur son héros emblématique. Malgré la présence d’un flash-back, j’ai apprécié la manière dont Eiichiro Oda est parvenu à « expliquer » la trahison de mon personnage féminin préféré, Robin.
J’ai beaucoup aimé le rythme effréné dans la fin de ce tome tant en le détestant. Malgré l’absence totale de temps mort, ce 38ème opus de la saga s’arrête au pire moment en nous promettant de futures confrontations au sommet de la hiérarchie mondiale. Je vais devoir prendre le temps de savourer les prochains livres avant de ne pas arriver trop rapidement au 96ème tome (tout juste sorti à l’heure d’écrire ces quelques lignes).