Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une analyse (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Je vais peut-être vous paraître idiot, mais je n’avais absolument pas compris qu’il s’agissait d’une série dédiée à la romance. Car, même si j’avais parfaitement compris que cette jeune héroïne renfermée sur elle-même finirait par trouver l’amour, je pensais naïvement qu’il y aurait autre chose, une autre intrigue que celle d’être capable de s’ouvrir aux autres.
J’ai toute de même passé un bon moment aux côtés de cette héroïne atypique et les nombreux dessins de belles filles totalement nues n’étaient pas désagréables à admirer. Et pourtant, j’ai ce sentiment d’avoir lu une oeuvre assez brouillon où tout est mis en place pour tenter d’attirer le lecteur sans finalement y parvenir. Ce constat est assez flagrant lors de l’enchainement d’une dizaine de pages mettant en avant la poitrine, totalement dénudée, de toutes les jeunes filles de ce roman, un peu comme étant l’argument de dernier recours pour capter l’attention du lecteur.
J’ai découvert cette série grâce au coffret proposé à la vente (2+1) en août 2020 par les éditions Doki Doki. Pour quelles raisons la maison d’éditions a décidé de remettre en avant une série vieille de presque 10 ans et qui avait fait un gros flop à l’époque ? Détective Conan, peux-tu résoudre ce mystère ?