Synopsis :
Goku est parvenu à vaincre tous ses opposants et à se qualifier pour la finale du grand tournoi des arts martiaux !
Mais face à lui se dresse le terrible Jackie Chun, rien moins que son maître Kamé Sennin venu incognito. Le duel entre le maître et son élève est l’un des moments phares de ce manga !
En effet, confronté à un Goku au meilleur de sa forme, le vieillard va devoir se livrer comme jamais…
Toutes les générations, excepté les plus récentes, connaissent Dragon Ball. A moins d’avoir vécu dans une autre dimension, la plupart des êtres humains connaissent la grande majorité des détails de la jeunesse de Son Goku (et non pas Sangoku). Et pourtant, c’est un plaisir personnel et jouissif de pouvoir revivre les débuts de notre petit prodigue dans le plus prestigieux des tournois, le Tenkaichi Budokai.
Je viens de retomber en enfance le temps d’un livre. Quel bonheur de retrouver Son Goku dans ses premiers combats « importants » de la série. Et même si les premiers du célèbre tournoi ont été rapidement mené, les suivants m’ont offert un spectacle époustouflant où l’extraordinaire commence progressivement à devenir l’ordinaire tant les exploits du petit Son commencent davantage à nous amuser qu’à nous surprendre. Admirez donc la tête de Nam 🤣.
Je suis extrêmement bluffé par l’absence totale de temps mort entre deux intrigues. En effet, une fois le tournoi terminé, il ne faut que quelques planches pour que Son Goku décide de prendre son envol pour récupérer la Dragon Ball de son grand-père. C’est toute la particularité de la première partie ce monument de la bande dessinée japonaise. Je me réjouis d’avance de me replonger dans la lutte du jeune héros face au Red Ribbon.
Cette édition est exceptionnelle tant pour son grand format que pour la qualité de l’objet-livre. L’ajout d’une fresque répartie sur les 34 tomes de la série permet de lui accorder la chance de figurer à une place de choix dans ma bibliothèque. Je ne peux que regretter le choix des éditions Glénat d’avoir augmenter la taille (pour un meilleur rendu), ce qui a impliqué l’absence de l’extrémité droite de la fresque.
Ma note pour cette lecture : 20/20