Synopsis :
Obélix tombe amoureux d’une jeune villageoise, Falbala, dont le fiancé Tragicomix vient d’être enrôlé de force par les Romains et expédié en Afrique.
Ravalant héroïquement sa déception amoureuse, le livreur de menhirs lui promet de sauver le jeune homme.
Les deux inséparables compères, Astérix et Obélix, s’engagent donc à leur tour dans la légion afin de le retrouver.
Mon avis :
Cet album figure, bien évidemment, dans mon Top 3 des aventures d’Astérix comme auprès de tant d’autres lecteurs. C’est toujours un plaisir de retrouver nos deux irréductibles gaulois dans d’autres contrées que la Gaule, même si l’on commence, tout doucement, à s’en lasser ! A quand la découverte de nouveaux personnages dans le village préféré des français ? A croire que Stéphane Bern ne soit pas encore passé par là !
Mais qui est donc cette jeune fille sublime aux cheveux longs et soyeux ? Serait-ce l’emblématique Falbala ? Nous la connaissons tous et pourtant elle n’apparait que dans trois albums d’Astérix sur une petite vingtaine de planches au total. Sommes-nous, à l’image d’Obélix, tombé sous son charme au point de ne l’avoir jamais oublié ?
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Pour la première fois, Astérix et Obélix partent à la recherche d’un gaulois que personne ne connait, l’élu de Falbala : Tragicomix. Après de nombreux efforts pour devenir de véritables légionnaires, nous avons l’heureuse surprise de quitter l’Europe afin de rejoindre l’Afrique. Il s’agira d’un passage éclair où l’intrigue, au départ beaucoup trop lente, se dénoue d’une manière un peu bâclée où l’on ne parvient pas à en profiter réellement.
Nous passons néanmoins un bon moment auprès de ces apprentis légionnaires qui vont mener la danse face à des instructeurs confirmés. Les baffes sont toujours au programme de la formation et les sangliers, aux abonnés absents, vont finalement une entrée fracassante grâce à Obélix, qui manque légèrement de tact !
Le point à retenir :
- L’arrivée flamboyante de Falbala.
- Nous quittons l’Europe pour la première fois.
- Nombreux gags hilarants.
- Des sangliers, des baffes, le coeur d’artichaut d’Obélix (et Idéfix). Tout y est.
Le point négatif
- Le dénouement final est précipité, ne permettant pas d’en profiter pleinement.
- Le village est, une fois encore, « oublié ».
Ma note pour cette lecture : 16/20
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