Je vous retrouve aujourd’hui pour un rendez-vous livresque qui me plait déjà beaucoup, Journal de bord.
Le principe est simple. Il s’agit de vous présenter en quelques lignes, sous la forme d’un journal intime, mes réflexions au sujet d’un livre qui ne se prête pas à une chronique « classique » (format inadéquat, peu de choses à dire, soucis d’éviter les répétitions…)
Finalement, je commence à vraiment prendre du plaisir avec cet arc consacré à Dressrosa. Mais ne vous méprenez pas ! Il n’est pas question d’une amélioration du scénario ni même d’un changement au niveau du choix de la narration alternée, mais plutôt de ce sentiment que Doflamingo sera bientôt défait par Monkey D. Luffy. Et ça, c’est la bonne nouvelle que j’attendais depuis la lecture du 70ème volume, le premier d’une très longue série de 11 tomes…
Malgré tout, il existe quelques moments où je suis parvenu à ressentir la gravité de la situation, et plus particulièrement l’instant où Usopp tient entre ses mains la survie de son équipage et probablement aussi du monde entier. Le reste, c’est uniquement du remplissage complètement inutile. Alors oui, on peut toujours se rabattre sur les traits du talentueux Eiichiro Oda qui passe des journées et nuits entières à nous proposer des planches bien remplies. Toutefois, cela n’enlève rien au fait que depuis que les deux années d’entraînement se sont écoulées, l’intrigue avance à une lenteur qui concurrence le plus rapide des escargots.