Synopsis :
Dans l’univers virtuel du Petit Barbare, les morts se suivent et ne se ressemblent pas. Préférez-vous le voir transpercé, déchiqueté, brûlé, écrasé ou dévoré ?
Pour le faire passer de vie à trépas, vous avez l’embarras du choix !
Car Midam rivalise encore d’ingéniosité pour malmener notre pauvre Petit Barbare dans un florilège de Game Over aussi cruels qu’hilarants.
Des gags muets et toujours aussi efficaces qui font de cette série un monument de l’humour absurde.
Mon avis :
En ce début 2020, je me replonge dans les séries qui m’ont tant fait rire pendant toute mon enfance. Game Over fut l’une d’entre-elles et ses personnages atypiques que l’on a tous commencé à découvrir grâce aux jeux vidéos de Kid Paddle.
Alors que Boule & Bill est resté englué dans son succès des années 1990, Game Over, de par ce mutisme qui a fait le succès de la série, est toujours aussi hilarant où les dessins suffisent à nous tordre de rire. C’est simple, « banal » et avec des illustrations simples mais quelle efficacité !!!
Ce dix-septième album ne déroge pas à le règle de ne proposer que des gags muets hilarants où le lecteur ne peut s’empêcher de pouffer de rire pour la majorité des gags ! Bizarrement, il y a deux planches dont je n’ai pas compris la finalité et je ne suis parvenu à comprendre pourquoi l’avatar était Game Over.
La deuxième planche (ci-dessus) a permis à mes filles de se demander si leur papa n’était un vieux fou excentrique qui rigole sans la moindre raison. J’adore l’humour de Midam et il parvient à proposer du contenu inédit et d’une grande qualité malgré les (trop) nombreuses personnes qu’il choisit pour co-écrire ses bandes dessinées.
Je suis bien heureux que les gags ne reflètent pas entièrement la réalité. Alors que l’avatar a la gentille intention de laisser l’étui du violoncelle pour que sa princesse ne soit pas serrée comme une sardine, la voilà qui massacre l’homme de sa vie parce qu’elle se trouve grosse !!!
Game Over
Les points positifs
- Gags muets hilarants
- Les gags sont simples et efficaces
- On prend plaisir à la souffrance des personnages
Le point négatif
- Pas de gag (ou du sur deux planches.
Ma note pour cette lecture : 19/20